
L’un est un peu virtuose de la guitare mais est surtout naïf et candide. L’autre, doué pour la contrebassine, est d’une mauvaise foi cruelle et assumée. C’est un voyage dans leur folie qu’ils promettent dans ce « concert » déglingué et délirant.

Une fois par semaine, il sort de chez lui et de ses gonds. Quelque part. Sur une place. Il marche, bouge, flotte, crie, ose enfin quelque chose. Il se lâche, se dégraisse en quelque sorte. Fuyant sa quiétude organisée, affrontant son inquiétude...